Il est temps de partir
Partir. Je n’envisageais cela que de très loin. Cela m’est déjà arrivé bien sûr, l’on m’a déjà quitté, je ne suis parti qu’une fois. Inutile de vous emballer, nous parlons bien de startup. Rires. Si vous êtes un familier de la section « la team » de ce blog, vous savez que nous utilisons l’analogie du mariage et des relations amoureuses pour illustrer notre propos. Le bonjour à ceux qui débarquent, asseyez-vous au premier rang, histoire que je vous vois bien.
[Partie effacée]
[Partie effacée]
C’est triste à dire, mais je ne fais pas ce boulot pour l’argent, j’aimerais bien pourtant. Cela ne m’aurait posé aucun problème de continuer à recevoir des virements pour faire beaucoup et moins bien que je ne suis supposé en faire. J’aurais adoré être de ces personnes qui considèrent qu’ils ont fait leur part en prévenant le client, que le reste le regarde et qu’en conséquence, ils peuvent poursuivre la collaboration. Sourire. Oui, je pense que j’aurais aimé ça.
Le passage à l’acte
Je me suis amusé aujourd’hui, comme tous les jours depuis deux mois lorsqu’il s’agit de cette boîte-là en particulier. Après trois heures de réunion à parler marketing, communication et expérience client, je me suis rendu compte que je n’avais rien avalé depuis le matin et j’ai souri. Ce sont les « symptômes ». J’avais appris pas mal de choses sur la logistique et le fonctionnement d’un site d’e-commerce, ainsi que les aléas du perfectionnisme. Oui, j’étais heureux.
[Partie effacée]
Oui, le client a besoin de conseil. Le dernier qu’il recevra de moi sera celui d’embaucher quelqu’un d’autre.
#mAverick
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